Cette année, la conversation autour de la table du dîner de Thanksgiving pourrait passer d’une rencontre anodine à une mêlée combative, selon les croyances de chacun. Voici une des raisons de cet état de fait.
Merci pour cette conversation stimulante, mais je resterai à l’écart de cette agitation.
La fête de Thanksgiving suscite de nombreuses opinions dans des domaines autres que l’actualité ou la question de savoir si ce sont les Redskins ou les Cowboys qui auront les honneurs de la dinde. Certaines des opinions les plus fortes sont liées à la nourriture et aux positions fermes que nous adoptons lorsqu’il s’agit de défendre nos dîners du jour de la dinde.
Je suppose que nous le prenons tous très au sérieux parce que c’est un dîner typique, un repas noble où la tradition règne et où VOUS préférez manger ce avec quoi VOUS avez grandi : ce que grand-mère faisait, puis ce que maman faisait parce que grand-mère le faisait et que vous faites maintenant parce que c’est dans vos gènes et que vous faites ce que maman vous dit de faire.
Qu’en est-il de ces éternelles querelles d’amoureux et de détracteurs ? Dans quel camp vous situez-vous ?
- Viande claire ou viande brune ? (claire, s’il vous plaît, bien que je sois devenu un peu novice en matière de viande brune au cours des dernières années)
- La farce : Dans la volaille ou cuite séparément ? (dans la volaille, pâteuse !) Salée ou sucrée ? (Je suis un puriste de la farce, n’ajoutez pas d’abricots secs à mes morceaux de pain parfaits, humides et imprégnés de sauge).
- Sauce avec ou sans abats ? (sans, merci beaucoup)
- Petits pains faits maison (je convoite cette recette) ou achetés en magasin ? (fait par quelqu’un d’autre que moi)
- Citrouille ou noix de pécan ? (Je prendrai les deux)
Sauce aux airelles.
Je suis d’accord avec Jessica sur ce point (voir n°4) et je suis heureuse d’opter pour la version en conserve – aux baies entières s’il vous plaît, pas à la version gélatineuse – bien que j’apprécie certainement la recette maison et que je la convoite lorsqu’elle se trouve dans mon milieu oh combien heureux si cela se produit.
Mais parfois, c’est une question de commodité. Et de temps. Et de l’envie.
Vous voulez connaître un moyen facile d’améliorer les conserves ? Avec quelques zestes d’orange ajoutés au mélange, les conserves prennent une toute nouvelle saveur. Comme c’est bon !
Vous ne trouverez pas d’autres arguments ici.
Ingrédients
- 4 tranches de pain aux airelles et aux noix
- 6 tranches de brie (sans la croûte)
- 4 tranches de poitrine de dinde (environ 6 onces)
- 1/4 de tasse de sauce aux canneberges
- 2-3 cuillères à soupe de beurre
- 1/2 avocat
Instructions
- Faire chauffer une poêle à feu moyen. Beurrer un côté de chaque morceau de pain. Sur le côté non beurré de deux tranches de pain, disposer la moitié du brie, la moitié de la sauce aux canneberges, deux tranches de dinde et quelques tranches d'avocat. Placer la tranche de pain sur le dessus, côté beurré vers le haut, couvrir avec un couvercle et faire griller dans la poêle jusqu'à ce que le pain devienne doré. Retourner le sandwich une fois, couvrir à nouveau avec un couvercle et cuire jusqu'à ce que le fromage fonde et que la partie inférieure du pain devienne dorée. Couper en deux et servir chaud.