Aujourd’hui, un enfant sur deux bénéficie d’une forme d’aide alimentaire. Les familles vivent avec un budget alimentaire quotidien de trois dollars par jour pour une famille entière. Je dépenserai le double de cette somme pour acheter des beignets à ma fille et à ses amies. Ou pour un café du matin et un magazine qui parle d’alimentation.
Il est temps de joindre le geste à la parole et de faire du bruit pour remédier à ce qui ne va pas dans l’état de l’alimentation dans notre pays. Grâce à l’initiative « No Kid Hungry » de Share Our Strength et à l’éducation du grand public par des documentaires comme « A Place at the Table », la situation alimentaire de millions d’Américains est révélée au grand jour.
http://www.youtube.com/watch?v=f4LuipQzXqA
C’est en entrant dans la classe de ma fille le matin que je me rends compte qu’il s’agit d’un véritable problème. En regardant les visages qui changent et grandissent sans cesse, je me demande qui a mangé quoi au petit-déjeuner. Ont-ils l’air déconfits parce qu’il est tôt et qu’ils n’ont pas envie de sortir de leur couverture ou parce que le petit-déjeuner ne leur a pas donné l’énergie dont leur esprit en pleine croissance a besoin ? S’ils ont mangé, s’agissait-il d’un repas équilibré avec des protéines, des céréales complètes et du calcium ou ont-ils avalé rapidement des céréales imbibées de sucre qui les conduiront à un crash en milieu de matinée ? Ou peut-être n’ont-ils rien mangé du tout ?
Après l’école, ma fille et moi avons une routine qui consiste à ce qu’elle me raconte trois choses sur sa journée. Celle qui me préoccupe le plus est son déjeuner et la quantité qu’elle a mangée. Alors que j’adorais manger à l’école quand j’étais enfant, je prépare le repas de mon Smudge à la place. Je veux que son repas soit équilibré. Je veux savoir ce qu’il contient et quelle quantité il mange. Je ne suis pas une inconditionnelle du bio et je n’évite pas les sucres à tout prix, mais je ne veux surtout pas qu’elle mange tous les jours des pizzas surgelées ou des frites au lieu de fruits frais et de céréales complètes. Le plus drôle, c’est qu’elle ne sait même pas ce qu’elle rate. Elle n’aime pas les frites de toute façon. C’est pour cette raison ?
Je suis presque sûre que la majorité des familles des enfants de l’école de ma fille ont une notion assez saine de l’alimentation. Mais même si l’on a de l’argent pour acheter de la nourriture, cela ne signifie pas nécessairement que l’on achète les bons aliments. Il faut encore faire de bons choix.
Pour changer les choses, il est essentiel de mettre à la disposition des familles à faibles revenus des aliments sains, des aliments qui ne sont pas remplis de calories vides, des aliments qui ne proviennent pas d’un emballage. Créer des repas qui utilisent des légumes frais et des céréales peut être extrêmement économique si l’on sait comment les préparer.
La consommation d’aliments contenant des calories vides n’a pas seulement une faible valeur nutritionnelle, mais elle est aussi, ironiquement, à l’origine de l’obésité.
À mon avis, la principale solution pour éviter cela est l’éducation.
Éduquer non seulement les mères et les pères, mais aussi les enfants qui cuisineront bientôt pour eux-mêmes, sur la façon de créer des menus qui s’étendent sur plus d’un repas, sur les combinaisons de groupes d’aliments qui permettent d’en avoir le plus pour son argent et sur les recettes simples avec des ingrédients simples qui sont savoureuses et économiques est la clé de la prochaine génération qui nourrira les enfants de notre pays.
Et beaucoup d’entre elles risquent aujourd’hui de disparaître.
Le Congrès envisage actuellement de réduire le financement du programme d’assistance nutritionnelle complémentaire (Supplemental Nutrition Assistance Program) qui fournit une aide aux personnes à faibles revenus, des programmes alimentaires scolaires pour les enfants et même des programmes d’aide alimentaire en cas de catastrophe. Prenez un moment pour faire savoir à notre Congrès ce que vous pensez de ces programmes de nutrition.
Je suis heureuse de partager le message qui sous-tend ce billet grâce à l’organisation de Nicole du blog culinaire Eat This Poem qui est à la tête de l’action des blogueurs culinaires avec sa création de The Giving Table, où elle a organisé plus de 150 blogueurs culinaires pour participer à l’événement Food Bloggers Against Hunger (Blogueurs culinaires contre la faim). Soutenez les blogueurs culinaires suivants en visitant leurs sites pour obtenir d’autres informations et recettes intéressantes.
2 Hungry Hearts (cœurs affamés)
1840 Ferme
Un couple de cuisiniers
Une fourche dans la main
Un petit quelque chose à se mettre sous la dent
Fille allergique
L’enfant allergique
Une vilaine morsure
un processus organique
La vaisselle Anna
Une mosaïque comestible
Anktangle
Un végétalien non raffiné
La vaisselle Anna
Un raisin et un marsouin
Une pile de vaisselle
Ferme du pré d’Auburn
L’automne fait et défait
AVIAL
Cuire et détruire
Bakeaway avec moi
Le plateau équilibré
Essence de pieds nus
Racine nue
Barnes et Hoggetts
Barbe+Bonnet
Miettes
Brighton votre santé
Locavore de Brooklyn
Crème au beurre et roses
Par : Sarah Rae
Cake ‘n’ Knife
Temps en boîte
Personnages Pub
Cheapeats
Recettes et écrits de Cindy
Manger propre et manger vite
Cuisiner avec Anne
Cuisiner avec Michele
Corbin dans le Dell
Boussole créative
Crêpes de la colère
Crispy Shipley
Culicurieux
Curieux de la nature
Cuisine personnalisée
Délibérations quotidiennes
Délicieuse mie
La démocratie est délicieuse
L’avocat de l’alimentation du diable
Le régime commence demain
Dîner avec Pat
Dîner avec Laura
DishnDat
Manger. Boire. Sourire.
Manger pour l’équité
Mangez ce poème
Mangez ce qu’il y a dans votre assiette
Mangez quand vous avez faim
Règles alimentaires
Edo Ergo Sum
Em-i-lis
Le cuisinier de référence
Erin’s Food Files
La femme de main de tous les jours
Les rumeurs de ma vie au quotidien
L’alimentation vraie au quotidien
Fêtes à la ferme
The Faux Martha
Feastie
Le ras-le-bol du déjeuner
Nourrir les grands
Nourrissez-vous
Cuisine du cinquième étage
La nourriture est une bonne chose
Désert alimentaire
FoodiesNYC
Foodie Yoga Girl
FoodieTots
Le poète de l’alimentation
Fourchable
Fraîchement
Du ventre au bacon
Frugal Foodie Mama
Garnir de citron
Gastographie
Entrer dans ma tête
Rires, gloussements et gorgées
Gimme Some Oven (Donnez-moi un peu de four)
girlichef
Bon. Propre. Nourriture.
La bonne alimentation, c’est important
Les bonnes choses poussent
Greatist
Jours de croissance
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Alimentation heureuse, vie heureuse
Folie heureuse
La propriété harmonieuse
Haute Mealz
La presse française de Heather
Souvenirs de la cuisine familiale
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Chaud, bon marché et facile
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Le blog sur la faim et la dénutrition
La faim dans le Hub
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Dans ta face ! – Cuisine du New Jersey
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Munching in the Mitten (en anglais)
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Qu’est-ce qui se passe ?
Ce qui est en train de se cuisiner a de l’allure
John en mangerait-il ?
Il n’est pas trop tard pour rejoindre la cause. Soutenez le mouvement en visitant The Giving Table, dites au Congrès ce que vous en pensez, regardez le film à la demande sur iTunes et Amazon et suivez le flux sur Instagram et les hashtags Twitter à #takeyourplace.
Et maintenant, la recette.
Le quinoa peut sembler peu conventionnel à l’Américain de tous les jours, un peu du côté hippie de l’alimentation. J’ai découvert le quinoa pour la première fois lorsque je travaillais pour une publication sur les produits naturels. Cela semblait tellement bizarre. Mais c’est loin d’être bizarre. Je le trouve similaire au couscous, mais avec une valeur nutritionnelle bien plus élevée.
Le quinoa a une longue histoire en matière de santé et de nutrition, et c’est un super aliment. Né il y a 3 000 ans, ce grain entier est l’exemple parfait d’un aliment qui ne demande qu’à être accepté par le grand public pour remplacer les calories vides. Sans gluten, riche en protéines, en fibres, en acides aminés, en calcium et en fer.
C’est la raison pour laquelle il a gagné la distinction de porter le surnom convoité de « superaliment ». C’est un peu la famille royale du monde de la nutrition.
J’ai ajouté le quinoa à une simple salade composée d’avocats bourrés de protéines, d’épinards frais bourrés de vitamines et d’acide folique, de poivrons rouges remplis de lycopène et de vitamine C, le tout assaisonné d’une sauce chimichurri à base d’ail bon pour le cœur et de jus de citron détoxifiant.
Une vraie alimentation = une vraie nutrition.
J’ai dégusté pour la première fois ce chimichurri à l’avocat chez mon amie Courtney, qui l’avait préparé en guise d’amuse-bouche sur une bruschetta, tirée des pages d’un numéro de 2008 du Vegetarian Times. Le goût m’a immédiatement séduite et a rapidement fait son chemin dans mon obsession de l’avocat sous la forme de cette salade.
Si vous souhaitez servir ce plat en entrée, coupez l’avocat en dés avec des morceaux de poivron rouge grillé et servez avec des crackers ou des tranches de baguette arrosées d’huile d’olive et légèrement grillées.
N’oubliez pas de dire au Congrès ce que vous pensez, de regarder le film à la demande sur iTunes et Amazon et de suivre le film sur Instagram et sur Twitter avec les hashtags #takeyourplace.
Ingrédients
- 2 cuillères à soupe de jus de citron frais
- 2 cuillères à soupe de vinaigre de vin rouge
- 3 gousses d'ail (émincées)
- 2 tasses d'épinards frais
- ½ cuillère à café de flocons de piment rouge
- ¼ tasse de persil frais haché
- 1 tasse de poivron rouge grillé (en tranches)
- sel casher et poivre fraîchement moulu
- 2 tasses de quinoa (cuit selon les instructions de l'emballage)
- ¼ tasse d'huile d'olive extra vierge aromatisée aux fruits
- ½ cuillère à café d'origan séché
- ¼ tasse de coriandre hachée
- 1/4 de tasse de feta émiettée
- 2 avocats (pelés, dénoyautés et coupés en tranches)
Instructions
- Mélanger le jus de citron, le vinaigre, l'ail, le sel, les flocons de piment rouge, l'origan et le poivre noir dans un petit bol. Incorporer l'huile à l'aide d'un fouet, puis la coriandre et le persil.
- Ajouter les épinards, le poivron rouge rôti, le quinoa et l'avocat dans un bol et assaisonner avec la sauce chimichurri. Garnir de feta et servir avec des craquelins aux graines de lin si désiré.